Soulager tes vices et tes caprices. Forniquer outrageusement tétons en gloire. Appliquée à verser dans le foutre, à créer la pagaille charnelle, la noce endiablée et joyeuse. La peau et les fesses en feu !
C'est se perdre monsieur, et enfin se trouver.
Photo- Janusz Miller -
Ces sourires espiègles et gourmands annonçant l’abandon
Le contact de la tige si tendre sous les lèvres, puis les dents
La vulve en bouche comme un fruit juteux
Le bassin qui vogue et s'ancre sur la queue
La toison qui frotte le gland qui palpite et décharge
Nos plaintes inarticulées , nos cris murmurés
Ton visage, lavé par la jouissance avec cette expression si douce et si dense
C’était enfin revenir à la source, pour se fondre dans l'océan !
Dessin- Moebius-
Sucer profondément en fouillant le dru, en caressant le tendre. Lentement, longtemps, silencieusement. Savourer les yeux fermés. Mâchouiller la bite épaisse jusqu' au bord du tourment. Et te sentir craquer sous les dents....
Les murmures,
Ces aveux charnels obsènes et tendres,
Les déchaînements,
Ces remous inversés renversants
Les emballements,
Ces remuements de nous
Bientôt,
Bientôt se répandre,
Se jeter dans le flot...
Photo -Simon Bolz-
J’aimerais couler à pic dans tout ce qui remue. Envie de baisers voraces, de mains qui saisissent. D’un instant vicieux, bestial et tendre. De chair douce, d’odeurs fortes.
Gémir et mécarter, m’empaler et hurler…
Photo – Emma Laroche -
J’aime nos étreintes si rares et si denses. Elles me réconcilient avec tant de choses !
Moments magiques où la joie s'empare de nous dans le jeu et l’émoi.
On profite de tout, on offre tout.
J'aime nos voluptés, nos vices, nos voix mêlées dans l'oubli du monde et de ses exigences.
Le temps enfin d’être bercés, choyés, renversés, baisés, échoués.
C’est un bonheur inégalable !
Photo- Ludovic Goubet-
Remplir enfin le creux au ventre, calmer les chairs qui réclament. Transpirer peau à peau.
Se mêler , se gorger. Mains qui plongent entre les cuisses. Bruits de succions. Te crucifier, bouffer la hampe. Recueillir le laiteux, le goûter, l’étendre de la langue, le renifler.
Baiser tout notre saoul !
Photo - Jean Loup Sieff -
Te contempler, me nourrir de tes gestes et de tes expressions. Capter tes yeux mi-clos, soupirer, saisir tes couilles, les presser. Empoigner ton membre, l'enrober de la langue. Sentir tes mains dans mes cheveux et sur ma nuque flechissante. Ma bouche et mon nez dans tes chairs , tout prendre....
Le gland tiède et moelleux frotte la vulve offerte,
La motte crisse,
Le petit jet privé fuse, oint,
Et bénit la lubrique épiphanie.
Photo - Bogdan Jarocki -
Froisser la soie, entrer en transe, déborder !
Que ça gicle et que ça tapisse !
Que ça remplisse et que ça vide !
Photo - Ingrid Klein -
Il embrassa où il voulut. Vorace, inquisiteur il ne renonça à aucun de ses mets favoris.
Il encouragea la licence, les jeux, la transgression complice, la connivence avide.
Je consentis à tout.
Et à y repenser mon clavier bat la chamade
Photo - Helmut Newton -.
Prendre les bourses dans le creux de la langue. Sentir la finesse du cuir, le rêche de la pilosité.
Voyager vers le creux de la cuisse, la pliure tiède et moite puis revenir happer les sacoches à plaisir.
Glisser dans la raie brune. Flairer, lécher longtemps même si la queue se tourmente et réclame…..
Photo - Neoromantika -
Plonger à l’intérieur des cuisses. Fourrer la langue dans l’intime déjà détrempé. Goûter goulu ce con mielleux qui tangue. Être gagné par l’appétit. Enfouir le nez dans la motte odorante.
S’empiffrer jusqu’à calmer l’écartée qui accueille et quémande.
Photo - Chadwick Tyler -
Comme une conque humide
Léchée d’un vent volage
Je lâche un chant troublant
Un murmure brûlant
Chargé d’odeurs sauvages…
Caresser l'animal qui s'ébroue et se cabre
Le laper par en dessous
Silencieusement, délicatement
Epuiser l’insatiable désir
Gentiment
Photo - Nikolay Sobolev -
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